Deux indispensables « compagnes » de l’homme d’action !
Quel est cet homme familier d’Aristote ? Un homme « reconnu à son action juste, délibérée et non à son savoir théorique » ? Pour juger avec discernement et agir prudemment…
Quel est cet homme familier d’Aristote ? Un homme « reconnu à son action juste, délibérée et non à son savoir théorique » ? Pour juger avec discernement et agir prudemment…
« Il compose avec les circonstances pour agir, se contente du meilleur possible et ne recherche pas un absolu illusoire. »
« Son jugement s’exercera dans la pratique »
« Son jugement s’exercera dans la pratique »
Prudence ?
«[…] l’homme prudent sait appliquer, après délibération, les principes universels aux situations particulières, sachant que la situation n’impose jamais rien d’elle-même. »
«[…] l’homme prudent sait appliquer, après délibération, les principes universels aux situations particulières, sachant que la situation n’impose jamais rien d’elle-même. »
Sagacité ?
« La sagacité consistera alors à s’appuyer sur les contingences en faisant un juste usage des passions selon les circonstances et permettra du coup d’agir de façon adéquate… »
« La sagacité consistera alors à s’appuyer sur les contingences en faisant un juste usage des passions selon les circonstances et permettra du coup d’agir de façon adéquate… »
Aristote, encore et toujours Aristote, qui a tracé et analysé « les conditions de la détermination volontaire ».
Aristote qui a fait de la sagesse une « science » :
« […]qui connaît en vue de quelle fin les choses sont faites, fin qui est, dans chaque être son bien et du souverain Bien dans l’ensemble de la nature. »
Aristote qui a fait de la sagesse une « science » :
« […]qui connaît en vue de quelle fin les choses sont faites, fin qui est, dans chaque être son bien et du souverain Bien dans l’ensemble de la nature. »
Très « capétien » cet homme…
[A partir d’un petit billet de Sophie Peters…
A valoir chaque jour alors que pointe les agitations de 2012…]
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